• Il lui tarde  de venir le chercher...


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  • Merci à toute la famille ...


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    Pour la mise en vente du DVD sur cette finale 2010 du mondial d'enduro à Noirétable...

    C'est pas gagné !!!

       


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  • Merci à Stéphanie Bouisson (championne du monde par équipe au ISDE) de nous faire découvrir au guidon de sa Yamaha HMC, un petit tronçon de liaison à l'occasion de finale de l'EWC de Noirétable. Petit clin d'oeil à sa maman qui grâce à ces images comprends mieux ce que Nanie ressent...


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  • Le dénouement de toute une saison est suspendu à onze points. Les onze unités qui séparent Antoine MEO (FRA-HVA) de Eero REMES (SF-KTM) son premier poursuivant en tête de la catégorie ENDURO 1. Autant dire que la grande finale française du MAXXIS FIM ENDURO WORLD CHAMPIONSHIP sera placée sous le signe du suspense. Méo sur ses terres deviendra-t- il champion du monde ? Pour le principal intéressé, la réponse ne laisse pas l'ombre d'un doute. « Je ne suis pas inquiet, au contraire. Le fait de disputer cette finale en France est plus un atout qu'une source de stress. Je serais sous pression si j'étais à la place de Remes, deuxième. Je crois plutôt que j'ai fait un bon début de saison, et si les deux dernières courses ont été en demi-teinte, je le mets sur le compte d u hasard et de la malchance. Pour la finale, nous avons préparé la moto parfaite. Nous voulons être sûr de ne rien avoir à nous reprocher s'il se passe quelque-chose, comme en Grèce.  Dans ma carrière, je n'ai jamais dominé et géré un championnat du début à la fin. Je profite donc de chaque instant. C'est certainement l'usine Husqvarna qui est la plus stressée. Tous les gens qui y travaillent ont rarement eu autant de pression autour de ce titre. Mais je compte vite les rassurer. » 
 

    
Les statistiques ne sont pourtant pas à l'avantage du Français lors de la seconde moitié de championnat. Alors qu'il a marqué 97 points lors des trois derniers Grand Prix, Eero Remes de son côté a fait une moisson, avec 132 points. Le leader de l'E1 n'a donc plus le droit à l'erreur. Les scénarios sont multiples, et dans le cas où le Finlandais signe un doublé, Antoine Méo devrat terminer les deux journées sur le podium. Le GRAND PRIX AMV DE FRANCE s'annonce donc comme une véritable partie d'échec dans la catégorie des 250cc 4 temps. Au sein même des écuries les stratégies ont été définies, et chaque prétendant bénéficiera de l'aide de son coéquipier. Chez KTM on compte bien sur Johnny AUBERT (FRA-KTM) pour soutenir Remes tandis que Méo pourra s'appuyer sur Matti SEISTOLA (SF-HVA) chez Husqvarna. Ajoutons à ce tableau la présence de pilotes Français capables de jouer les trouble-fêtes en s'intercalant, à l'image de Julien GAUTHIER (FRA-HM) ou Marc GERMAIN (FRA-YAM). Complètement fou, ce dernier rendez-vous de la saison encore indécis fait évidemment le bonheur des organisateurs. 
 


    « On va accueillir 125 pilotes, c'est déjà un premier record dans l'histoire du EWC, explique Vincent RIGAUDIAS, le maître d'oeuvre du Montoncel Racing Compétition. Et puis surtout il y a le phénomène Méo. Les spectateurs vont venir en masse, il est impossible de trouver une chambre d'hôtel dans la région. En 2007 nous avions accueilli 50 000 spectateurs, mais ce record pourrait bien exploser. Je n'ose même pas imaginer l'ambiance qu'il y aura en spéciale autour d'Antoine Méo. Pour autant, nous n'avons pas tracé l'épreuve à son avantage. Le parcours sera dans la même philosophie que l'édition précédente. En liaison nous changeons de versant, avec deux montées très techniques, une descente piégeuse où il sera facile de perdre beaucoup en endommageant un disque de frein ou un échappement co ntre les pierres. Les pilotes passeront 6 fois chaque jour dans l'Extreme Test. Nous l'avons transformée en théâtre. Elle sera très spectaculaire, avec un mur à franchir. Il y aura des déviations, car sans vouloir me montrer misogyne, il ne faut pas oublier que nous accueillons en même temps la finale de la Coupe du Monde Féminine. Mais je suis certain que certains hommes n'auront pas le courage de s'y attaquer. L'Enduro Test sera longue, presque 10 kilomètres, sur un sol très dur. La Cross Test sera une vraie spéciale à la Française, avec des dévers, des courbes rapides et des sauts en cassure. » 
 

    
C'est certainement de manière plus confortable que Mika AHOLA (SF-HM) envisage son couronnement en ENDURO 2. Le Finlandais aborde la finale avec 28 points d'avance, et dans le cas où Ivan CERVANTES (ESP-KTM) remporte la première journée, assurer la deuxième place lui suffirait à remporter le titre. Or Ahola a prouvé depuis plusieurs courses que même avec unecertaine réserve, ce résultat est largement à sa portée. Seule une avarie mécanique pourrait changer la donne. Et pour l'instant l'Enduro 2 est la seule catégorie où les têtes d'affiche ont été préservées de tout problème. Avec 10 points d'écart, il sera également intéressant de surveiller la bagarre pour la troisième place finale de la catégorie, pour l'instant à l'avantage de Thomas OLDRATI (ITA- KTM) devant le rookie Pierre-Alexandre RENET (FRA-KTM).

    Même combat pour Simone ALBERGONI (ITA-KTM) et Sébastien GUILLAUME (FRA-HVA) en ENDURO 3. David KNIGHT (GB-KTM) déjà titré depuis le dernier Grand Prix de Turquie, c'est bien le titre honorifique de vice-champion du monde qui se jouera entre le Français et l'Italien. Après un début de saison dans la douleur, avec une main cassée, Sébastien Guillaume affrontera un Simone Albergoni à bout de souffle en fin de championnat. 
 

    
Le sort du Junior étant scellé avec le sacre turc de Lorenzo SANTOLINO (ESP-KTM), c'est chez les filles de l'enduro que tout reste à faire. Ludivine PUY (FRA-GAS) en tête reste sous la pression de la prometteuse Blandine DUFRENE (FRA-GAS). 
 


    Qui sera la première championne du Monde d'enduro de l'histoire? 


    Antoine Méo sera-t-il champion?

    
Mika Ahola décrochera-t-il un quatrième titre à 36 ans?

    
Qui finira sur les podiums de l'E2 et l'E3? 
 



    Toutes les réponses les 25 et 26 septembre à Noirétable, pour le GRAND PRIX AMV DE FRANCE, huitième et dernière étape du MAXXIS FIM ENDURO WORLD CHAMPIONSHIP.
    
(source ABC Communication)

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